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Sokoloff, N., Op. 1. 12 Mélodies p. Chant et Piano. Text français et russe. Leipzig, Belaieff.
No. 1. Au Poète : „Jamais, ne chante le bonheur“. Mk 0,80.
– 2. A l’Enfant : „Loin des angoisses de la vie“. Mk 1.
– 3. Le Bruit du Monde : „Le bruit du monde qui s’agite“. Mk 0,60.
– 4. Le Rossignol s’est tû : „Dans les bois le rossignol s’est tû“. Mk 0,60.
– 5. Coucher de Soleil : „Quand au couchant, l’adieu du soleil dore“. Mk 1,20.
– 6. Le Bouleau desséché : „Ici, sur un sol calciné“. Mk 1.
– 7. Prière d’Enfant : „Ah ! prie, enfant, sur ta prière“. Mk 1,20.
– 8. Le Moulin : „Joyeux bouillonne le ruisseau“. Mk 1,50.
– 9. Le Chêne : „Assez loin de la forêt sombre“. Mk 1.
– 10. Le Mendiant : „Unetroupe, soir et matin passe“. Mk 0,80.
– 11. Le grand Père : „Tête chauve, barbe blanche“. Mk 1.
– 12. Mère et Fille : „Bein vieille est la chaumière“. Mk 1,20.
– Op. 2. 3 Romances p. Chant et Piano. Leipzig, Belaieff.
No. 1. L’Etoile du Soir : „Lorsque la terre écoute la voix sainte“. Mk 1,50.
– 2. Espérance : „A l’heure où le martyr succombe“. Mk 1.
– 3. La Pauvre et le Poète : „O pauvreté, par toi l’élan le meilleur“. Mk 1,50.
– Op. 9. 5 Mélodies p. Chant et Piano. Leipzig, Belaieff.
No. 1. L’Orgue de Barbarie : „Eh ! quoi, tu me plains, mon amie ?“ Mk 1.
– 2. Tu es comme le matin du printemps : „Du printemps enchanté“. Mk 0,80.
– 3. Chanson : „Ah ! vole et gronde avec fureur“. Mk 0,60.
– 4. Don Quichotte : „Un vieux plat pour casque“. Mk 1.
– 5. Claires Etoiles : „Les étoiles, un soir, ont du haut des cieux“. Mk 0,80.
– Op. 10. 3 Mélodies p. Chant et Piano. Leipzig, Belaieff.
No. 1. „Qu’il est doux le printemps“. Mk 0,80.
– 2. „Lorsque j’entends ta voix“. Mk 0,60.
– 3. LeSoir : „Au soir, les guérets sont las : tout dort“. Mk 0,80.
Sommer, Karl, Drink uus! Drink uus! Jitz go’mer en en öntlich Huus: „Des Mondags trok der Tünn me’m Jupp“. Karnevalslied f. 1 Singst. m. Pfte. Mk 0,60. Köln, P.J. Tonger.
Stahr, Carl, I bin a Weanakind: „So wie s’ mi’ do betrachten“. Marschlied f. 1 Singst. m. Pfte. Mk 1. Wien, Rörich.
Stavenhagen, Bernhard, Die verschwiegene Nachtigall: „Unter der Linden, an der Haiden“ f. S. – f. A. m. Pfte, deutsch u. engl. à Mk 1,50. Berlin, Ries & Erler.
Steidler, Josef, Wiener Orpheum-Couplets f. 1 Singst. m. Pfte. 2. Band (No. 11–20). Mk 3 n. Wien, Rebay & Robitschek.
No. 22. Göller, Anton, Meine liebe Scholastika: „Seit längerer Zeit bin ich wie umgewechselt“. Mk 1.
– 23. Schild, Th. F., Pepi! Pepi! thu nicht plauschen: „’s tragt ein Fräulein schöne Kleider“. Trommelschlag-Couplet. Mk 1.
Steinmann, Alfred, Op. 18. Drei Lieder f. 1 Singst. m. Pfte. à Mk 0,50. Leipzig, Nagel.
No. 1. „O könnte nur einmal mein müdes Haupt“.
– 2. „Lieb’ Liebchen, leg’s Händchen auf’s Herze mein“.
– 3. „Ach, wenn die Blumen singen könnten“.