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Godard, Benjamin, Mélodies à 1 Voix av. Piano. Paris, Durand, Schoenewerk & Co.
A ma Musette : „O ma tendre musette“. Mk 4.
Les Adieux du Berger : „Adieu, bergère chérie“. Mk 3,20.
L’Amour : „Oui, je t’aime Comme un bel ange“ p. MS. (ou Bar.) – p. Ca. (ou B.)à Mk 3,20.
Amour, Amour : „Mon bras pressait ta taille frêle“. Mk 3,20.
Amour fatal : „La matelot sait bien que les mers sont perfides“. Mk 4.
Après l’Hiver : „Tout revit, ma bien aimée!“ Mk 4.
Automne : „Voulez-vous, ma belle, boire du vin doux“. Mk 4.
Babet à Blaise : „C’est pour toi que je les arrange“. Mk 4.
Le Banc de Pierre : „Au fond du pare“. Mk 4.
Berceuse : „Enfant, Si tu dors“. Mk 2,40.
Chanson arabe : „Dans le sérail sont mes amours“ p. MS. (ou Bar.) – p. Ca. (ou B.) à Mk 4.
Chanson du Berger : „J’aime, et je ne puis exprimer“. Mk 4.
Chanson de Florian : „Ah ! s’il est dans votre village“. Mk 2.
La Chanson des Prés : „Savez-vous la chanson des Prés“. Mk 4.
Contemplation : „De quoi puis-je avoir envie“ p. MS. (ou Bar.) – p. Ca. (ou B.) à Mk 4,80.
D’où venez-vous : „D’où venez-vous ô vous brises nouvelles“. Mk 3,20.
Dans les Bois d’Andilly : „Pleut-il encore, dites-moi, mon amour ?“ Mk 4.
„Embarquez-vous ! qu’on se dépèche“. Mk 3,20.
„Je ne veux pas d’autre choses“. Mk 3,20.
„Je respire où tu palpites“. Mk 4.
Ninon : „Ninon, que fais-tu de la vie ?“ p. MS. – p.T. à Mk 4.
Pleurs de la Nuit : „Parfois l’aurore sort de l’ombre“. Mk 2.
Pourquoi : „Quand vous me montrez une rose“. Mk 2,40.
Qui donc vous a donné vos Yeux : „Dites-moi, belle enchanteresse“. Mk 4.
Le Soir vient : „Riez en traversant les prés“. Mk 4.
Viens : „Viens ! une flûte invisible“. Mk 4.
Villanelles, six. (Op. 38.) cplt Mk 2,40 n.
No. 1. Avril : „Avril, l’honneur des bois“. Mk 2,40.
– 2. Le Retour du Printemps : „Voici que les frais ombrages“. Mk 3,20.
– 3. La plus Belle : „Depuis que j’ai vu la plus belle“. Mk 3,20.
– 4. Ronde : „Vois, là-bas, sur les riants coteaux“. Mk 4.
– 5. Annette : „Autrefois la jeune Anette“. Mk 2.
– 6. L’Abeille : „Bourdonne légère abeille“. Mk 4.
Voudrais-tu : „Voudrais-tu tous les deux“. Mk 3,20.
Le Voyageur : Oh ! monsieur, prenez garde aux loups“. Ballade. Mk 4.
– 20. Mélodies p. Chant et Piano. gr. 8. Paris, Durand, Schoenewerk & Co. Mk 8 n.
Goltz, Georg v. der, Drei Lieder f. 1 Singst. m. Pfte aus „Der Tannhäuser“ v. Jul. Wolff. (No. 1. Lied Tannhäusers am Minnehofe zu Avellenz: „Offene Arme und pochende Brust“. No. 2. „Jahrlang möcht’ ich so dich halten“. No. 3. Lied Tann- [Page 244View facsimile]
häusers im Kloster zu Adamunt: „Der Lenz ist gekommen“.)
Goltz, Georg v. der